Le meurtre d'un Membre de la Maison royale de Roumanie :

https://www.artmajeur.com/en/jean-francois-caracci-9560030/presentation

En 2006 mon fils Chris Caracci mourrait extrait de force du ventre de sa mère alors enceinte de 7 mois et demi de grossesse. j'ai voulu porter plainte pour meurtre contre cet avortement fait dans mon dos. Mais je n'ai pas pu. Le droit à l'avortement autorisant une mère à tuer, librement, son fils. Moi en tant que père je n'ai rien pu dire. Mon fils a été assassiné dans mon dos et personne n'a été puni pour cela. Le père de ma compagne ne voulait pas que mon fils naisse.

J'étais un orphelin roumain, il ne voulait pas que sa fille accouche d'un enfant roumain. Il a forcé sa fille a avorter à Barcelone. Donc le racisme et la folie ont tué mon fils. J'ai appris 10 ans plus tard que j'étais Membre de la Maison royale de Roumanie par ma naissance mais que je n'étais pas roumain puisque la Famille royale de Roumanie est française et allemande. Française par la Reine Anne et allemande par le Roi Michel. Donc mon fils a été tué pour une nationalité qui n'a jamais été la mienne sans que ce soit vu comme un meurtre.

En Avril 2019 la Maison royale de France a confirmé librement ma naissance au travers du Prince Charles Louis de Bourbon par un acte de Reconnaissance officiel confirmé par sa Chancellerie et par le Grand Conseil de l'Ordre souverain de Jérusalem, Malte et Rhodes au travers du Grand Officier de Justice Roberto Montefusco et avec pour témoin canonique de la Reconnaissance l'archevêque Vetoslav Vassilev. Cette tragédie m'a tellement déstabilisé en 2006 que je n'avais pas prété attention aux mensonges de mon père adoptif qui voulait justifier ses actes illégaux dans la Sci Caracci en m'accusant de faits immaginaires mais parfaitement organisés par le bâtonnier à son service dans le seul but de justifier ses actes.

Alors que je disposais à l'époque de toutes les preuves de mon innocence, meurtri par le meurtre de mon fils "je n'ai pas pensé à me défendre". Mon père adoptif François Caracci riant de mon sort lorsque je l'avais appelé en pleurs en 2006 pour lui annoncer le meurtre de son "petit-fils". Alors pardonnez moi d'avance si je ne suis pas pour le droit de tuer un fils dans le dos de son père.

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